lundi 23 août 2010

Sorties If Is Dead

Hello Happy People,

Un petit post pour vous mettre au jus de mes sorties IID :

La critique du jeu vidéo
Condemned 2 : Bloodshot sur Xbox360, un FPS axé sur le corps à corps




Les critiques littéraires
Le Huit de Katherine Neville une critique qui date du mois de mars et qui vient juste d'être publié. Thriller post-moderne à tendance historico-mystico-rocambolesque


Les manuscrits de Kinnereth de Frederic Delmeulle Du voyage dans le temps mélangé à de la religion. J'ai pas trop aimé.


A venir, je viens de finir de lire "L'Empire Ultime" de Brandon Sanderson chez Orbit

Tchao

mercredi 18 août 2010

The expendables de Sylvester Stallone

Je sors du cinema direct pour venir prêcher la bonne parole. Oui mes frères, aimez les films d'actions et il vous le rendrons. Ahem, personne à voulu venir au ciné avec moi ce soir... Tant pis, ils ne savent pas ce qu'ils ratent. Qu'à donc ce film dans le ventre...
Un poster du film. Pourquoi ils s'en sont pas servi comme affiche !?!
Les expendables sont des mercenaires, ils acceptent tout du moment qu'on les paient. Mais là, quand le personnel rejoint le professionnel ils se retrouvent embarqués dans la libération d'une île du golfe du Mexique.

C'est un peu bateau comme scénar mais il y a quand même deux-trois trucs franchement sympathique dans l'histoire. Il y a pas mal de second degré dans le film, des blagues, des allusions et des références qui m'ont bien fait marré, la plupart du temps, grâce au cast monstrueux du film.
Notre fine équipe au complet

Bon les amateurs de film d'action en auront pour leur argent coté acteur. Quasiment toutes les grosses pointures du cinéma d'action sont là. Stallone, Jet Li, un ou deux catcheur bien connu, Dolph Lundgren (woot), Mickey Rourke, j'en passe et des meilleurs. On notera la présence de Schwarzy et de Bruce Willis aux cotés de Sly pour une scène absolument énorme, blindée d'humour où les dialogues sont constitués de petites piques amicales. J'en vient à la star du film selon moi, Jason Statham, c'est bon, il est au sommet en ce moment, il éclipse même un peu Sly par moment, bref il est cool (^^).

Les scènes d'action maintenant, parce que bon dans un action movie faut qu'elles pètent et de ce coté là, c'est bon, on est servi. Les différents membres du commando sont létaux à souhait avec chacun leurs "méthodes". Les combats sont franchement bien chorégraphiés et sont vraiment agréables à regarder. Le seul bémol reste la course-poursuite en bagnole un peu brouillonne.

Bilan, un bon film d'action comme on n'en fait plus, peut-être même un must dans son genre. J'ai beaucoup aimé et donc, hop, je conseille.

lundi 16 août 2010

A bittersweet life de Kim Jee-woon

On se retrouve pour une nouvelle critique de film, ça faisait bien longtemps. Mais ce coup ci, c'est un bon film (ouf). Que vaut donc ce film de Kim Jee-woon de 2005. Synopsis...

Kin Sunwoo est un Jo-pok, un gangster coréen. Il est le favori et bras droit de Kang, un des chefs de la pègre. Ce dernier doit s'absenter pour aller à Shanghaï et confie à Kim une tâche qu'il ne peut confier qu'à lui seul, surveiller sa maitresse.

La jaquette DVD que je trouve géniale

Je vous laisse deviner la suite, ou pas. Parce si vous avez deviné vous êtes vachement balèzes. Il y a certes quelques ficelles un poil usées mais pas celles auxquelles on s'attendrait forcement. Et ça fait du bien un peu de nouveau dans ce monde de clichés éculés (même s'il y en a quand même ici).

J'ai pu lire sur le net que certain avait trouvé indigente la prestation du premier rôle. Personnellement, je ne suis pas d'accord. Lee Byung-hun tient son rôle, ni plus ni moins, celui d'un gangster froid, dévoué et fidèle qui perd tout sur l'autel de la paranoïa, avec une descente aux enfers erratique suivi d'une épopée vengeresse.

La trahison peut se situer dans les deux camps, celui qui a le plus de pouvoir l'emporte

Au niveau de la photographie on sent un peu d'inégalité. Autant certains passages sont juste superbes autant d'autres aurait peut être mérité un peu plus de travail, je pense notamment a des scènes dans l'hôtel qui m'ont un peu piqué les yeux au niveau de la lumière. Les scènes de combat à mains nues sont bestiales à souhait et les gunfights plus réalistes que dans la moyenne des films. Kim n'est pas un king du headshot, loin de là, ça rajoute un peu de tension.
J'ai aimé visionné ce film au final éprouvant et triste. Ce n'est cependant pas le genre de film à vous faire changer d'avis sur le cinéma asiatique si vous ne l'aimiez pas. Pour ça, dirigez vous plutôt vers Old Boy.

mercredi 4 août 2010

Le Chateau de Frank Kafka ou "Les chroniques d'un echec"

Ça va être un peu particulier cette fois-ci, vu que je vais parler d'un bouquin que je n'ai pas réussi à finir. Un des plus fameux auteurs autrichiens qui me résiste, il faut dire que son monde n'est pas vraiment accessible au premier péquin venu. Synopsis...
La couverture de mon édition : plutôt classe
 K. vient d'arriver au village pour prendre son poste d'arpenteur. Mais une fois sur place on lui dis qu'il n'y a pas de poste qui correspond. Il cherche alors à rentrer en contact avec le chateau, lieu de l'autorité du village. Un lieu mystérieux dont personne ne sait rien et renfermant la solution au problème.

Ça sonne un peu roman d'aventure n'est ce pas, laissez tomber alors si c'est ce que vous y recherchez. L'ennemi est invisible ici, un ennemi implacable et soudé, l'administration. Car oui, elle est bien le centre de l'histoire, une sorte de monstre tentaculaire qui ne communique pas entre ses pattes, tourné dans le seul but de vous pourrir la vie et obéissant à des règles qu'elle seule connait. Ce qui fait le plus peur dans ce roman c'est qu'on pourrait presque le transposer à notre époque, comme quoi en un siècle et comme partout l'administration fait toujours aussi peur. Attention, je ne tires pas à boulets rouges sur les fonctionnaires, ce serait mal me connaitre que de le penser, mais il faut avouer qu'on peut se sentir un peu frustré de servir de balles de ping pong entre services parce qu'il est aussi question de cela dans le livre.

Passons... Le livre dénote de quelques longueurs et il doit falloir sérieusement s'accrocher pour le finir. L'auteur nous martèle son aversion pour les bureaucrates à répétition jusqu'à avoir atteint mon point de lassitude.

On a du mal à comprendre les personnages, sont ils manipulés ou manipulateurs. Une question qui revient souvent dans ma tête quand j'y repenses. Ai je vraiment compris ce que j'ai lu ? rien n'est moins sûr, peut être mon bagage littéraire n'est il pas assez lourd pour embrasser la compréhension de ce roman. J'ai pu lire que la situation du roman pouvait être une allégorie du purgatoire (le village) et du paradis (le château), c'est une interprétation intéressante mais qui a quand même un défaut, l'image négative renvoyé par le château. Car oui, d'avoir parcouru une bonne moitié du roman, je le pense, ce château a tout d'un lieu maléfique, une sorte de prison qui a détruit la liberté de pensée de ses occupants.

Si vous êtes désireux de vous plonger dans un ouvrage complexe ou alors si vous êtes totalement masochistes, je vous conseille ce livre. Et pour ma part, peut être trouverais-je le courage de le terminer un jour...

Un petit point sur ma dernière parution chez if is dead : Ceux qui sauront de Pierre Bordage, une uchronie sympathique sans plus

lundi 2 août 2010

Pong, la saga pleine de rebondissements

Hello Happy People,

Aujourd'hui, un article un peu à part puisque sur un sujet peu fréquent et sans doute méconnu du grand public. Il s'agit d'une saga MP3. Ici exceptionnellement pas de critique, juste la découverte. C'est parti pour parler de Pong.

"Pong, c'est de la balle"

Si je vous en parle ici c'est que je suis un peu à l'origine de la saga étant donné que le concept originel est de moi. C'est une idée qui me trottait depuis longtemps dans la tête mais n'ayant pas les compétences ni le temps pour monter de niveau en mixage audio ni réussi à trouver des gens motivés à m'aider (bon j'avais pas cherché dur en même temps) je l'avais un peu remisée au placard. Quand je suis tombé sur Ark, je sais pas pourquoi mais j'ai eu envie de lui raconter le bouzin. Et il a été EM-BA-LLÉ. Si bien que quelques mois après sortait la série dans son intégralité, disponible sur son blog.


C'est un peu la saga scandale de 2010 sur le netophonix (le repère de la sagasphère française). Un buzz monstrueux et un concept carrément nouveau, forcément il allait se passait un truc. Pour info, le Johnny crédité en auteur et acteur est mon frangin, un piaf de ville.

Bon si je vous en parles c'est parce que j'ai un nouveau projet de séries MP3 en route avec l'équipe des piafs de ville et avec l'aide de Ark. A voir si on fera la surprise pour le concours de la saga de l'été.