vendredi 31 décembre 2010

Un petit bilan 2010

Hello happy new year people (H-16),

Je me suis dit qu'il était temps en ce 31 décembre de faire un rapide bilan de l'année. Déjà, 33 articles paru cette année et au vu des données de mon google analytics, vous plébiscitez mes Live-Reports spécialement celui de Gojira. L'année a été plutôt en dents de scie mais comme je donne priorité à mes chroniques sur If is Dead c'est un peu normal. Rajoutez à ça mon nouveau boulot et des déménagements à répétition et vous n'arrangerez pas les choses.

Un point sur mon challenge ABC 2010, à ce jour 19/26 livres lus :

Asimov Isaac, Les dieux eux-mêmes
Bordage Pierre, Ceux qui sauront
Cornwell Patricia, Postmortem

Delmeulle Frederic, Les Manuscrits de Kinnereth
Eddings David, La rédemption d'Althalus

Flynn , Eifelheim
Glukhovsky Dmitry, Metro 2033
Hinks Darius, l'île de sang
Irish William, La mariée était en noir
Jacq Christian, Le procès de la momie
Kafka Frank, Le chateau
Lang John, l'orbe de Xaraz
Martin Georges RR & Lisa Tuttle, Windhaven
Neville Katherine, le huit
Orwell Georges, La ferme des animaux
Poe Edgar Allan, Histoires extraordinaires
Quignard Pascal, Vie Secrete
Robillard Anne, ANGE, Antichristus
Sanderson Brandon, L'empire Ultime, le fils des brumes
Tanizaki Junichiro, Le meurtre d'O-Tsuya
Uris Leon, Exodus
Verne Jules, Le chateau des carpathes
Wells HG, Un rêve d'armageddon
Xingjian Gao, le livre d'un homme seul
Yoshikawa Mako, Vos Desirs sont desordres
Zelazny Roger, l'ile des morts


Vous remarquerez que la liste a évolué au cours du temps pour s'adapter à ce que j'avais sous la main. Je compte bien me faire toutes les lettres, quelque soit le temps que ça me prendra (J'ai commencé le procès de la Momie et Vie secrète et ça va être dur, vu qu'ils sont loin d'être engageant.)

Je ferez un article rétrospective en début d'année pour faire un petit résumé des à ne pas manquer.
J'espère un peu plus de constance de ma part pour l'année 2011 et plein de nouveaux articles pour vous.

Happy Frakkin' New Year, Yeah !!!!

dimanche 28 novembre 2010

L'île de sang de Darius Hinks

Salut, je reviens pour vous parler de cette chose qui fait 124 pages et qu'on vends comme un roman. Vous remarquerez au ton que je n'ai pas aimé et je m'en vais vous exposer pourquoi dans la suite de cette chronique.

Les hauts-elfes gardent une relique des temps anciens depuis une tripotée de temps sur l'île de sang. Malheureusement et on se demande bien comment, les skavens, ces immondes hommes-rats, en ont entendu parlé et vont se lancer à l'assaut de l'île par leurs tunnels qui rongent la planète.

Vu comme ça, on peut se dire "pourquoi pas ?". Mais ça ne ressemble à rien, on frise l'overdose pour fanboy avec des personnages directement sorti des livres d'armée qui ont la présence d'une moule sur la coque d'un bateau. Le déroulement est chaotique au possible, l'action s'enchaine sans queue ni tête.

Je ne vais pas y aller par quatre chemins, c'est du niveau d'une fan-fiction pour moi, de la  fan-fiction de qualité supérieure certes, mais de la fan-fiction quand même. (D'un autre coté, j'ai lu des trucs immondes quand j'étais correcteur de la partie fiction du site way of naruto pas terrible comme niveau de comparaison)

L'édition est une honte, on a droit à une couverture souple qui va "protéger" des pages dont la qualité de papier est merdique (j'ai cherché un synonyme mais je n'en ai pas trouvé  d'assez forts) Le tout pour 4€ indiqué par un gros sticker moche et jaune.

Soyons clair, pour acheter ce bouquin en connaissance de cause il faut soit être ultra fan de l'univers (et encore) ou tout simplement un acheteur compulsif de tout ce qui sort des étalages de la Bibliothèque Interdite. J'ai mis 3 semaines à lire ces 124 pages... A bon entendeur salut.

NB : Je n'ai pas mis de couverture, histoire de ne pas me faire violer par le département juridique de Games Workshop. Je préfère ne pas tenter le diable.

samedi 27 novembre 2010

R.E.D de Robert Schwentke

J'ai occupé mon vendredi soir en allant voir un film avec un pote. En ces temps de harrypotterinerie j'ai jeté mon dévolu sur R.E.D, une adaptation du comics du même nom qui a pour scénariste Warren Ellis.
Frank Moses est à la retraite, quoi de plus ennuyeux quand on a bourlingué toute sa vie pour la C.I.A. Son seul réel contact humain est avec la femme qui s'occupe de son chèque de pension. Lorsqu'un jour une équipe de nettoyage débarque chez lui, il ne va y avoir qu'une conséquence, ça va chier pour ceux qui lui ont envoyé des mercenaires aux fesses.

Et comme c'est Bruce willis dans la peau de Franck ce n'est pas étonnant. Franchement, on a droit à un casting de luxe pour ce film, Morgan Freeman, John Malkovich que je n'ai pas besoin de présenter. On retrouve encore aussi Julian McMahon (Charmed, Nip/Tuck), Karl Uban (lsda:les deux tours, les chroniques de Riddick) Marie-Louise Parker (Weeds). Bref que du beau monde.

Ce panel de personnage va du gros dur pour Frank au russe qui regrette la Guerre Froide, en passant par des agents de la CIA ultra conditionné. Sympathique mais plutôt classique. Niveau cascade, on est servi certaines sont bien classes comme celle où Franck sort de sa voiture alors qu'elle fait un dérapage (cf la Bande Annonce)
John Malkovich, mon idole, dans le rôle d'un gros taré aux circuits fondus

Là où apparemment le comics est plutôt sérieux, le film donne dans l'action comedy, avec des blagues et des situations burlesques. Personnellement, j'ai adoré, j'ai beaucoup rigolé pendant la projection. Bon ce n'est pas non plus ultra recherché, on sent venir la fin à des kilomètres mais il n'empêche que c'est un des films les plus plaisants que j'ai pu voir dernièrement au cinéma.

Si vous avez besoin de vous détendre, de vous vider la tête et de rigoler bêtement, ne cherchez pas plus loin, R.E.D est fait pour vous.

samedi 20 novembre 2010

Guide survie en territoire zombie de Max brooks

Je sors un peu de mon ordinaire de roman et autres pour m'attaquer à un auteur spécialiste des zombies et à son guide pratique qui couvre la survie en territoire infesté. Nous allons voir ce que renferme ce délicieux ouvrage.
Une couverture ultra sobre mais qui affiche la couleur
Le guide se découpe en plusieurs points. On a d'abord droit à la description de ce qu'est un zombie en faisant voler les idées reçues en éclat. On en apprends plus sur le virus provoquant cet état, les aptitudes des zombies, la différence avec les zombies vaudou et enfin, peut être le plus important, comment détecter les signes d'une épidémie quand le gouvernement et la presse sont au quart nord-ouest.

Un "test" des différentes armes possibles et la manière de se débarasser d'un zombie avec poursuit ce guide. Là encore, l'auteur nous met en garde contre le mythe hollywoodien, par exemple, la tronçonneuse, c'est juste pourri contre des zombies alors retourne te coucher Ash. C'est tellement exhaustif dans les types d'armes, d'armures que ça en est presque flippant.
Dérouiller du zombie n'est pas souvent la meilleure solution, le chapitre suivant couvre la fuite, le déplacement en zone infectée et infestée et les différents véhicules accompagné d'une critique. Perso, j'vais aller m'acheter un vélo.

Un chapitre couvre le nettoyage de zones infestées de zombies ainsi que différentes techniques régissant cette chasse. Manquerait plus qu'on se fassent bouffer après avoir survécu aussi longtemps. Il est suivi par des conceils pour vivre dans un monde ravagé par l'épidémie. Où s'installer et comment serontdes questions primordiales dans cette situation. Avec ça, on a balayé a peu près tous les conseils, tips et tuyaux pour ne pas finir entre les mâchoires d'un mort-vivant et ne pas grossir leurs rangs. C'est bourré d'évidences qu'il ne le sont plus dans nos sociétés modernes.

Parce que je pense que c'est ça le but principal de ce guide, une critique de nos sociétés consuméristes, dépendantes et interdépendantes. L'homme au pied du mur retrouvera peut être enfoui dans ses gênes son instinct de survie, encore faut il qu'il ne se fasse pas bouffer avant. Une partie de ce guide donne des conseils plus pour s'affranchir de la société et de la civilisation tel que nous la connaissons que pour se débarrasser vraiment des zombies. Dans le cas d'une catastrophe majeure, serions nous capable de survivre et de rebâtir une civilisation sur les cendres de l'ancienne. Ou alors je m'emballe et l'auteur voulait juste écrire un guide avec des morceaux de fantastique dedans.
Normalement vous devriez vous en sortir si "ça" arrive
L'auteur termine par quelques exemples d'épidémie passée. C'est plutôt sympa et matière à en faire des vraies histoires pour certaines. On termine par quelque page de journal de bord vierge, juste au cas où...

Si vous aimez les zombies, c'est un bouquin indispensable et ça peut faire sourire les autres. Je conseille et je vais m'attaquer à World War Z du même auteur.

samedi 13 novembre 2010

Dr Who Saison 5 (enfin j'veux dire 31 pour les supra puristes)

De l'extra, du fandom, Oyez Oyez les DVD de la saison 5 du Dr Who sont sorti en début de semaine in the UK. La série mythique de la BBC rempilait donc encore une fois et c'est un fanboy déjà conquis qui vous convie à son résumé de son DrWho-a-thon. 

Je me suis donc fourré dans mon canapé pour m'abreuver le cerveau de tous les épisodes de la saison à la suite ou presque. Matt Smith a pris la place de David Tennant aux commandes, mais que vaut il ?
Matt Smith devant le TARDIS
 Au niveau du look, on ne s'éloigne pas trop du costume du 10ème docteur, les deux différences notables étant le noeud pap et de vrai chaussures, pas les converses usé jusqu'à la corde du dernier. Niveau interprétation, là où précédemment le docteur adoptait une nouvelle personnalité à chaque régénération, ici on se retrouve avec un jeu qui ressemble pas mal à celui de Tennant, plus léger certes mais très proche quand même.

Autre particularité du show, les compagnons le docteur se retrouve ici être Amy Pond, une rousse au tempérament chaud et Rory son petit copain et futur mari. Deux compagnons au lieu d'un, ça commençait à faire longtemps de manière récurrente. Les relations avec le docteur sont plutôt dans la forme d'un pseudo triangle amoureux au début pour évoluer vers un comportement plutôt ambigu de la part de Amy. Bref à voir comment cela évoluera dans la saison prochaine.

Niveau fil rouge de la saison, on se sent un peu sur sa faim puisque les auteurs ont décidé de l'étaler sur la saison prochaine. Pour l'instant, j'ai trouvé ça un peu faiblard et sous utilisé même si le coup des cracks in reality est pas mal. Bref... Je vais faire un rapide passage des meilleurs épisodes de la saison.

The Time of Angels/Flesh and Stone : un double épisode avec Steven Moffat aux commandes où l'on retrouve les Weeping Angels pour un arc d'action, de suspense et de peur (un petit peu).

Vincent and the Doctor : Un épisode émouvant où le docteur sera aux prises avec un monstre invisible aux cotés de Vincent Van Gogh. J'ai trouvé la fin un peu contraire à l'éthique du docteur mais bon, c'est un détail.

The Lodger : Un épisode où le docteur se retrouvera en coloc avec un humain, assez drôle et qui fait une coupure bienvenue avant le grand final.


Le final parlons en. La BBC a encore voulu trop en faire et ça en devient presque ridicule mais bon, on commence à être habitué avec les fins de saison alors autant prendre son mal en patience en attendant la nouvelle saison et le spécial de noël.

Bon, une saison 5 bien agréable indispensable aux fans avec des bons ressorts scénaristiques et de bonnes surprises, elle ne fait pas honte à la série et c'est tant mieux alors espérons que cela continue ainsi.

Ma PAL (Pile à Lire) ne diminue pas

Hello Happy People
Un petit aperçu de ce qui vous attends dans le futur sur IID et sur ce blog.
Vous remarquerez les deux tas, je l'ai scindé après que ça me soit tombé dessus au réveil -_-"

Pêle-mèle on retrouve :
Le procès de la Momie de Christian Jacq
Les deux bouquins de Greg Graffin, le chanteur de Bad Religion (VO)
Deux tomes des annales du disque monde
False Gods, le second tome de l'hérésie d'Horus (VO)
Les deux premiers tome de Rhapsody
Les trois premiers tomes d'H2G2 (VO)
Jacinto' Remnants le second tome Gears of War (VO)

et d'autres... Et encore, je ne couvre ici que les à lire pas le en cours et encore, que les romans. Malheureusement, c'est mal barré pour 2010 mais cela réserve bien des surprises pour 2011.

Vous l'aurez compris au passage que mon challenge ABC 2010 est cuit mais je compte bien finir la liste avant d'attaquer un nouveau challenge, celui de lire toute la bibliographie de Eddings.

Sur ce, on se revoie pour les 1 an du blog ;) Je pars pour un marathon Dr Who s5.

Tcho guyz

jeudi 30 septembre 2010

Ça va être mou

Hello Happy People,

Comme ce qui suivent ont pu le constater, les articles sont plutôt clairsemés temporellement parlant. La faute à mon nouveau boulot et le fait que je ne sois pas installé où que ce soit. La situation devrait redevenir stable d'ici le mois de décembre mais ça m'étonnerait que vous n'ayez droit à plus de 2-3 articles entre temps.

Tcho guyz

vendredi 17 septembre 2010

Un rêve d'armageddon de H.G. Wells

Hop un nouveau bouquin de lu pour le challenge. H.G. Wells pour deux nouvelles de 1901 et 1906 pour un total d'une centaine de pages. On retrouve les nouvelles La porte dans le mur et un rêve d'Armageddon pour un petit synopsis.

Étrange comme couverture

La porte dans le mur nous raconte l'histoire d'un homme qui croise tout au long de sa vie une porte qui le mène dans un lieu de pur bonheur mais qu'il se refuse à re-franchir. Un rêve d'Armageddon narre les rêves d'un homme se déroulant dans le futur où la guerre menace.

Ces deux nouvelles ont pour point commun que le narrateur est celui qui recueille en confidences les histoires des protagonistes. Je n'ai pas trop aimé cette méthode de narration, ça fait assez artificielle. Mais si on sort de ce point, c'est agréable et facile à lire.

En ce qui concerne les thèmes des nouvelles, on trouve la tentation dans la première même si on finit par ressentir du dépit dans l'attitude du personnage. L'égoïsme est au cœur de la seconde et je dois avouer qu'on la ressent fortement dans le personnage, on aurait presque envie de lui coller une balle nous même devant tant de nombrilisme. Sans compter la fin qui tombe un peu comme un soufflé foiré...

En conclusion, on va dire que je suis plutôt déçu de ces nouvelles, je m'attendais à beaucoup plus d'un auteur comme Wells. Tant pis...

Hop, un petit point sur le nombre d'ouvrages à lire pour boucler le challenge : 10. Ça risque d'être carrément tendu pour terminer avant 2011. A la prochaine.

lundi 23 août 2010

Sorties If Is Dead

Hello Happy People,

Un petit post pour vous mettre au jus de mes sorties IID :

La critique du jeu vidéo
Condemned 2 : Bloodshot sur Xbox360, un FPS axé sur le corps à corps




Les critiques littéraires
Le Huit de Katherine Neville une critique qui date du mois de mars et qui vient juste d'être publié. Thriller post-moderne à tendance historico-mystico-rocambolesque


Les manuscrits de Kinnereth de Frederic Delmeulle Du voyage dans le temps mélangé à de la religion. J'ai pas trop aimé.


A venir, je viens de finir de lire "L'Empire Ultime" de Brandon Sanderson chez Orbit

Tchao

mercredi 18 août 2010

The expendables de Sylvester Stallone

Je sors du cinema direct pour venir prêcher la bonne parole. Oui mes frères, aimez les films d'actions et il vous le rendrons. Ahem, personne à voulu venir au ciné avec moi ce soir... Tant pis, ils ne savent pas ce qu'ils ratent. Qu'à donc ce film dans le ventre...
Un poster du film. Pourquoi ils s'en sont pas servi comme affiche !?!
Les expendables sont des mercenaires, ils acceptent tout du moment qu'on les paient. Mais là, quand le personnel rejoint le professionnel ils se retrouvent embarqués dans la libération d'une île du golfe du Mexique.

C'est un peu bateau comme scénar mais il y a quand même deux-trois trucs franchement sympathique dans l'histoire. Il y a pas mal de second degré dans le film, des blagues, des allusions et des références qui m'ont bien fait marré, la plupart du temps, grâce au cast monstrueux du film.
Notre fine équipe au complet

Bon les amateurs de film d'action en auront pour leur argent coté acteur. Quasiment toutes les grosses pointures du cinéma d'action sont là. Stallone, Jet Li, un ou deux catcheur bien connu, Dolph Lundgren (woot), Mickey Rourke, j'en passe et des meilleurs. On notera la présence de Schwarzy et de Bruce Willis aux cotés de Sly pour une scène absolument énorme, blindée d'humour où les dialogues sont constitués de petites piques amicales. J'en vient à la star du film selon moi, Jason Statham, c'est bon, il est au sommet en ce moment, il éclipse même un peu Sly par moment, bref il est cool (^^).

Les scènes d'action maintenant, parce que bon dans un action movie faut qu'elles pètent et de ce coté là, c'est bon, on est servi. Les différents membres du commando sont létaux à souhait avec chacun leurs "méthodes". Les combats sont franchement bien chorégraphiés et sont vraiment agréables à regarder. Le seul bémol reste la course-poursuite en bagnole un peu brouillonne.

Bilan, un bon film d'action comme on n'en fait plus, peut-être même un must dans son genre. J'ai beaucoup aimé et donc, hop, je conseille.

lundi 16 août 2010

A bittersweet life de Kim Jee-woon

On se retrouve pour une nouvelle critique de film, ça faisait bien longtemps. Mais ce coup ci, c'est un bon film (ouf). Que vaut donc ce film de Kim Jee-woon de 2005. Synopsis...

Kin Sunwoo est un Jo-pok, un gangster coréen. Il est le favori et bras droit de Kang, un des chefs de la pègre. Ce dernier doit s'absenter pour aller à Shanghaï et confie à Kim une tâche qu'il ne peut confier qu'à lui seul, surveiller sa maitresse.

La jaquette DVD que je trouve géniale

Je vous laisse deviner la suite, ou pas. Parce si vous avez deviné vous êtes vachement balèzes. Il y a certes quelques ficelles un poil usées mais pas celles auxquelles on s'attendrait forcement. Et ça fait du bien un peu de nouveau dans ce monde de clichés éculés (même s'il y en a quand même ici).

J'ai pu lire sur le net que certain avait trouvé indigente la prestation du premier rôle. Personnellement, je ne suis pas d'accord. Lee Byung-hun tient son rôle, ni plus ni moins, celui d'un gangster froid, dévoué et fidèle qui perd tout sur l'autel de la paranoïa, avec une descente aux enfers erratique suivi d'une épopée vengeresse.

La trahison peut se situer dans les deux camps, celui qui a le plus de pouvoir l'emporte

Au niveau de la photographie on sent un peu d'inégalité. Autant certains passages sont juste superbes autant d'autres aurait peut être mérité un peu plus de travail, je pense notamment a des scènes dans l'hôtel qui m'ont un peu piqué les yeux au niveau de la lumière. Les scènes de combat à mains nues sont bestiales à souhait et les gunfights plus réalistes que dans la moyenne des films. Kim n'est pas un king du headshot, loin de là, ça rajoute un peu de tension.
J'ai aimé visionné ce film au final éprouvant et triste. Ce n'est cependant pas le genre de film à vous faire changer d'avis sur le cinéma asiatique si vous ne l'aimiez pas. Pour ça, dirigez vous plutôt vers Old Boy.

mercredi 4 août 2010

Le Chateau de Frank Kafka ou "Les chroniques d'un echec"

Ça va être un peu particulier cette fois-ci, vu que je vais parler d'un bouquin que je n'ai pas réussi à finir. Un des plus fameux auteurs autrichiens qui me résiste, il faut dire que son monde n'est pas vraiment accessible au premier péquin venu. Synopsis...
La couverture de mon édition : plutôt classe
 K. vient d'arriver au village pour prendre son poste d'arpenteur. Mais une fois sur place on lui dis qu'il n'y a pas de poste qui correspond. Il cherche alors à rentrer en contact avec le chateau, lieu de l'autorité du village. Un lieu mystérieux dont personne ne sait rien et renfermant la solution au problème.

Ça sonne un peu roman d'aventure n'est ce pas, laissez tomber alors si c'est ce que vous y recherchez. L'ennemi est invisible ici, un ennemi implacable et soudé, l'administration. Car oui, elle est bien le centre de l'histoire, une sorte de monstre tentaculaire qui ne communique pas entre ses pattes, tourné dans le seul but de vous pourrir la vie et obéissant à des règles qu'elle seule connait. Ce qui fait le plus peur dans ce roman c'est qu'on pourrait presque le transposer à notre époque, comme quoi en un siècle et comme partout l'administration fait toujours aussi peur. Attention, je ne tires pas à boulets rouges sur les fonctionnaires, ce serait mal me connaitre que de le penser, mais il faut avouer qu'on peut se sentir un peu frustré de servir de balles de ping pong entre services parce qu'il est aussi question de cela dans le livre.

Passons... Le livre dénote de quelques longueurs et il doit falloir sérieusement s'accrocher pour le finir. L'auteur nous martèle son aversion pour les bureaucrates à répétition jusqu'à avoir atteint mon point de lassitude.

On a du mal à comprendre les personnages, sont ils manipulés ou manipulateurs. Une question qui revient souvent dans ma tête quand j'y repenses. Ai je vraiment compris ce que j'ai lu ? rien n'est moins sûr, peut être mon bagage littéraire n'est il pas assez lourd pour embrasser la compréhension de ce roman. J'ai pu lire que la situation du roman pouvait être une allégorie du purgatoire (le village) et du paradis (le château), c'est une interprétation intéressante mais qui a quand même un défaut, l'image négative renvoyé par le château. Car oui, d'avoir parcouru une bonne moitié du roman, je le pense, ce château a tout d'un lieu maléfique, une sorte de prison qui a détruit la liberté de pensée de ses occupants.

Si vous êtes désireux de vous plonger dans un ouvrage complexe ou alors si vous êtes totalement masochistes, je vous conseille ce livre. Et pour ma part, peut être trouverais-je le courage de le terminer un jour...

Un petit point sur ma dernière parution chez if is dead : Ceux qui sauront de Pierre Bordage, une uchronie sympathique sans plus

lundi 2 août 2010

Pong, la saga pleine de rebondissements

Hello Happy People,

Aujourd'hui, un article un peu à part puisque sur un sujet peu fréquent et sans doute méconnu du grand public. Il s'agit d'une saga MP3. Ici exceptionnellement pas de critique, juste la découverte. C'est parti pour parler de Pong.

"Pong, c'est de la balle"

Si je vous en parle ici c'est que je suis un peu à l'origine de la saga étant donné que le concept originel est de moi. C'est une idée qui me trottait depuis longtemps dans la tête mais n'ayant pas les compétences ni le temps pour monter de niveau en mixage audio ni réussi à trouver des gens motivés à m'aider (bon j'avais pas cherché dur en même temps) je l'avais un peu remisée au placard. Quand je suis tombé sur Ark, je sais pas pourquoi mais j'ai eu envie de lui raconter le bouzin. Et il a été EM-BA-LLÉ. Si bien que quelques mois après sortait la série dans son intégralité, disponible sur son blog.


C'est un peu la saga scandale de 2010 sur le netophonix (le repère de la sagasphère française). Un buzz monstrueux et un concept carrément nouveau, forcément il allait se passait un truc. Pour info, le Johnny crédité en auteur et acteur est mon frangin, un piaf de ville.

Bon si je vous en parles c'est parce que j'ai un nouveau projet de séries MP3 en route avec l'équipe des piafs de ville et avec l'aide de Ark. A voir si on fera la surprise pour le concours de la saga de l'été.

samedi 17 juillet 2010

Gojira au Chatodo

Chose promise chose due. C'était donc hier que Gojira passait à Blois, au chatodo. C'est quand même pas tout les jours qu'on a un groupe français de renommée mondiale, encore moins de passage dans les contrées perdues blésoises.


Je vais passer rapidement sur la première partie, Nesseria, qui remplaçait au pied levé Bliss dont le batteur se serait cassé le genoux. C'est du Grind/Hardcore, j'sais pas trop. J'ai pas aimé et apparemment les amateurs de ce genre de musique ont été un poil déçu. Y'en a même un qui m'a dis que j'étais plus dynamique sur scène XD.

J'ai retenu les leçons de Bad Religion, pas trop prêt pour profiter de la musique et pas trop au milieu pour pas finir dans les pogos. L'acoustique de la salle n'étant pas exceptionnelle, je pense avoir fait le bon choix pour voguer sur les riffs puissants qu'on nous envoyait.

Et du puissant, il y a eu. Les concerts de cette intensité sont rares, trop rares. La foule était chaude comme la braise et ça a headbangé grave, d'ailleurs j'ai encore des courbatures dans le cou (petit joueur me souffle t'on dans l'oreillette). Les membres du groupe sont déchainés sur scène, ça doit être communicatif. Le bassiste est un sacré showman et ça fait plaisir à voir. Le chanteur a un charisme hallucinant, en trois mots il avait la salle dans sa poche. Le second guitariste était déchainé aussi. On en vient à ma nouvelle idole, Mario, le batteur, ce mec envoie grave dans un style bien puissant.

Niveau chanson, on a eu un large panel de leur œuvre. Quel plaisir d'entendre Backbone sur scène, ce morceau déchire déjà en album et il est magnifié en live. Une chanson que je n'attendais pas vraiment, A Sight to Behold, s'est révélé absolument ultime. Vacuity, m'a aussi marqué par la trance qu'il a provoqué dans le public, énorme. J'en passe et des meilleures. On a aussi eu droit à Ouroborus en rappel.

En bref ce n'est pas pour rien qu'ils sont mondialement connu. Je suis sorti de la salle encore plus fan que je ne l'étais en entrant.

 From Mars to Sirius : Mon album préféré de Gojira



PS : Désolé, encore pas de photos de concert, j'me vois mal aller à un concert de métal ou de punk avec un appareil photo...

J'en profite au passage pour vous mettre au parfum d'un de mes articles paru sur If is dead le jour de mes 24 ans, thx dabYo ;) : Debauchery, Death N Roll

jeudi 1 juillet 2010

Metro 2033 de Dmitry Glukhovsky

Hello Happy People,

Un petit billet pour signaler la parution de ma chronique concernant Metro 2033, la révélation SF de l'année selon moi. Retrouvez la critique sur if is Dead .



Stay Tuned

vendredi 18 juin 2010

L'île des morts de Roger Zelazny

Bien que Roger Zelazny soit reconnu comme un auteur plutôt majeur de SF, je n'avais encore jamais lu aucun de ses bouquins. L'île des morts qui nous intéresse ici est un de ses romans qui date de 1973. Je commence par un synopsis.
Francis Sandow est un porteur de Noms, il est le seul humain a posséder la capacité de créer des mondes, capacité qu'on pensé réservé aux Pe'iens. Il habite sur l'une des planètes qu'il a créée mais d'étranges clichés de ses amis disparus lui parviennent.Une sombre machination est en route...

Comme vous pouvez vous en douter, nous sommes dans le futur, très loin dans le futur. l'humanité a rencontré plusieurs races intelligentes. Francis peut créer des mondes et nous parait immortel. Il est aussi très riche. De par ces aspects, il incarne le pouvoir, l'homme prêt à tout pour arriver à ses fins. Est il encore humain ou est il l'exacerbation de ce qui fait un humain ? Il se sent détaché de ce qui l'entoure et ne semble pas affecté par son environnement. Un personnage qui n'a l'air de ne plus rien attendre de la vie, las et cynique, bref, un régal.

Niveau style, le début du roman est déroutant, trop d'informations d'une traite dont on a pas les clés de compréhension. Heureusement, ces clés nous sont fournis plus tard mais j'avais vraiment l'impression désagréable de passer à coté d'éléments importants. La suite est beaucoup plus compréhensible et de plus écrite de manière agréable.

Un bon roman sympathique, pour un prix modique (moins de 4€) vous profitez de 186 pages de SF plaisante.

Prochaine parution, sur If Is Dead, Metro 2033 de Dmitry Glukhovsky, une dystopie dantesque.

jeudi 17 juin 2010

Bad Religion au Bataclan

Hop on se retrouve pour un live-report, et quel report mes aïeux, Bad Religion (je vous renvoie à leur wiki si vous ne connaissez pas). Pour résumer, c'est eux qui ont ressuscité le punk rock dans les années 80. Et c'est pour un anniversaire qu'on les retrouve, et pas pour une bagatelle mais bien pour les 30 du groupe. Let's Rock.

Tout d'abord la salle, le Bataclan, ne connaissant personne y étant déjà allé, je jouais un peu les éclaireurs. L'ambiance fait très café théâtre et j'ai trouvé la salle plutôt belle et grande.

On en vient à la blague de la soirée, la première partie. J'sais pas d'où il sortait ce groupe, mais il était à des kilomètres d'être à la hauteur. Le seul gars de ce groupe à mériter des applaudissements, c'est le batteur. Je ne cite pas le nom, ils se font insulter de partout déjà, pas la peine d'en rajouter. Après ce set d'environ 25 minutes et un petit quart d'heure de line check, les "American Jesus" étaient parés à rentrer en scène.

Première surprise, un gratteux manque à l'appel, bon tant pis. Greg, le chanteur, a un charisme énorme et son effort de nous parler un peu en français au début du concert a fait bien plaisir.

On a affaire à du Bad Religion donc si vous êtes un tant soit peu réceptif au punk rock, vous êtes obligé d'adorer. C'est puissant, remuant, du punk rock californien quoi, la portée un peu plus sociale en plus. Bon, les morceaux étaient plus focalisé sur l'album à sortir et sur le s derniers, mais les classiques était bien là. Étant particulièrement fan de Stranger than Fiction, the Gray Race et Recipe for Hate, je n'ai pas été déçu. 

/fanboy on
Infected, 21st century digital boy et the Punk Rock Song sont des *bip* de chansons qui déchire sa *bip* de *bip*
/fanboy off

Niveau ambiance, ben c'était un concert de punk rock avec pas mal de vieux. y'a failli y avoir de la bagarre dans mon coin pendant la première partie à cause d'un skin un peu nerveux. Message aux vieux: Si vous supportez pas les pogos, allez voir Henir Des en concert... XD ou foutez vous pas devant.

Je suis ressorti du concert trempé de chez trempé de sueur et le pote avec qui j'étais a failli tomber dans les vapes à cause de la déshydratation, Tout ça pour dire que c'était bien intense. Point noir, j'ai paumé mon bandana fétiche à cause d'un body slammer (*tousse Connard tousse*)

Ainsi s'achève un nouveau Live-Report, en attendant d'aller voir Gojira au chatodo ;p

A noter pour les fans, sur le site du groupe, vous pouvez laisser votre adresse mail pour recevoir un petit cadeau pour leur 30 ans de carrière : Un album live de la tournée anniversaire ^^

dimanche 30 mai 2010

Come Hell or High Water de Deep Purple (DVD)

Come Hell or High Water est un donc un DVD Live de Deep Purple enregistré en 1993 à Birminghan. Pour situer dans l'histoire du groupe, c'est la tournée pour fêter les 25 ans du groupe et c'est peu avant le deuxième départ de Blackmore du groupe.

Le concert démarre par Highway Star et est marqué par un pétage de câble du guitariste Ritchie Blackmore connu pour ses frasques. Ce qui m'a le plus marqué c'est quand même Gillan qui peine sévère à monter dans l'aigu. Niveau playlist, on a que du lourd avec les nouveautés de The battle rages on.

A noter, un gros solo de clavier bien sympatoche. Chose étrange Speed King ma chanson préféré d'eux est présente sur le CD du live de Stuttgart et est remplacé par Paint in Black en Angleterre, va savoir pourquoi.

Plusieurs interviews entrecoupent le concert, elle ne sont pas sous-titrés mais de ce que j'ai compris il se plaignent quand même pas mal de Blackmore et répondent à des questions genre "Votre album préféré de votre disco ?". Je trouve qu'il y aurait du y avoir moyen de s'en passer.

Un concert sympa, à voir au moins une fois si on est fan de Deep Purple, surtout pour une des dernières apparitions de Blackmore. Ils sont en tournée et passe à Tours au mois de Décembre, on en reparle à ce moment là.

jeudi 27 mai 2010

News au passage

Hello happy people,

j'en profite pour vous mettre au jus sur la sortie de critiques (pas forcément fraiches) sur IID :

Embalming de Nobuhiro Watsuki le nouveau manga de l'auteur de Kenshin

Suicide Club de Sono Sion un film japonais bien sympa et torturé


Voila, voila. J'ai fini de lire Windhaven de Georges RR Martin et je m'attelle à sa critique ce week-end. Je me suis lancé dans la foulée sur "Le Château" de Frank Kafka

Deux instances de JBoss 4.2.x GA sur le même PC

Au boulot je me suis retrouvé confronté à un petit problème de configuration. Le trick, je devais faire tourner deux JBoss sur le même PC. Vous allez me dire (les informaticiens en tout cas), bah t'écoutes sur d'autres ports, c'est tout. Sauf que bon, faut les changer pour tous les services JBoss, pas juste pour l'écoute http et https. Pour éviter d'avoir à tourner trop en rond pour ceux qui aurait le même problème, voila les fichiers à éditer dans votre server/default :

/deploy/jboss-web.deployer/server.xml
/deploy/http-invoker.sar/META-INF/jboss-service.xml
/deploy/jbossws.sar/jbossws.beans/META-INF/jboss-beans.xml
/deploy/ejb3.deployer/META-INF/jboss-service.xml
/deploy/jms/uil2-service.xml
/conf/jboss-service.xml
/conf/jboss-minimal.xml
/conf/jboss-service.xml

Changez tous les numéros de ports que vous rencontrez, perso, je l'ai ai tous passé dans le range 9000 - 9999.

Suivant l'intérêt que je susciterais avec ce billet, je serais peut être tenter d'en sortir des techniques plus souvent. C'est pas long et ça peut dépanner veugra (comme ils disent les djeunz).

Stay Tuned (et vive le RSS XD)

jeudi 13 mai 2010

Breakfast Club de John Hugues

Breakfast Club est un film de 1985 de John Hugues et son titre alternatif aurait pu être le défilé des clichés. Mais pourquoi est-ce que je dis ça. Explication dans le synopsis...

5 lycéens que tout oppose se retrouvent ensemble en retenue un samedi, le tout surveillé par un *bip* de proviseur. Ils vont apprendre à se connaitre, s'engueuler, tomber amoureux, etc...

C'en est fini du synopsis, c'est court n'est il pas. Et en dehors des raisons pour lesquels ils sont en colle, il n'y a pratiquement rien d'autres à dire sur l'histoire.

Le passage ultra cliché arrive, les personnages, qui sont caricaturaux au possible. Parmi les étudiants, on retrouve pèle-mêle, le sportif, lutteur de haut niveau dans son lycée, la prom queen, la pétasse un peu conne qui ne sait pas faire grand chose, l'intello, totalement à l'ouest par rapport au monde réel, la tarée (basket case), que tu comprends même pas ce qu'elle fout là et enfin le voyou, contestataire, fumeur de marie-jeanne et super sensible sous sa carapace de crasse (très épaisse d'ailleurs). Le dirlo est totalement buté avec ses idées sur les jeunes d'aujourd'hui et fait sa peau de vache.

Niveau décor, tout se passe au lycée et une bonne moitié du film à la bibliothèque, c'est assez hallucinant de voir une biblio aussi grande dans un bahut d'ailleurs. Quand je pense que celle de mon lycée était toute pourrite. Bref,  passons.

La bande son est de Simple Minds, notamment avec leur tunes "(Don't You) Forget About Me". J'ai acheté ce film pour cette chanson, je dois être un peu taré aussi, vu que j'aime bien que cette chanson de Simple Minds.

Franchement, je ne peux pas vous le conseiller ce film. Même s'il n'a pas trop mal vieilli, les clichés et les histoires sont éculés. Vous me direz que le film est vieux et que si ça se trouve c'est le premier du genre et je vous répondrais qu'il doit bien y avoir un autre film du même acabit en plus intéressant. A bon entendeur, asta la vista.

mercredi 5 mai 2010

Postmortem de Patricia Cornwell

Postmortem de Patricia Cornwell est le premier tome de la série mettant en scène le Dr Kay Scarpetta et il fait partie de ma liste 2010. Du haut de ses 262 pages, j'me suis dit trop facile, erreur...

Un tueur en série rode, il s'attaque aux jeunes femmes les vendredis soir. Kay est médecin général à la morgue et impliqué dans la résolution de ses meutres. Mais c'est dur d'être une femme dans les hautes sphères surtout avec la mentalité du début des années 90 et elle se retrouvera prise dans des manœuvres politiques. 
Comme vous l'avez surement compris, on va suivre la résolution de l'enquête dans ce roman. Bon, les polars, c'est pas trop ma tasse de thé de base et là j'ai eu confirmation. J'ai mis quasiment un mois pour le lire et je ne pense pas être réceptif au style de l'auteur. C'est à la fois lent et rempli d'évènements, je m'explique, il se passe plein de choses plutôt regroupés avec des moments que j'ai trouvé vide.

Scenaristiquement  parlant, y'a des bonnes idées, notamment l'ébauche d'intrigues sur des personnages proches de l'héroïne, sa nièce par exemple ou encore son amant.

Détail qui fait sourire les informaticiens, les explications d'une intrusion dans une base de données où on aligne plein de mots techniques pas forcement bien traduit. Du coup j'espère aussi que c'est romancé parce que sinon, v'la la sécurité dans les bases de données à l'époque.

Niveau ambiance, ça fait vraiment ébauche des experts et ça, c'est sympa. Les prises de têtes pour assembler les pièces du puzzle sont agréables à lire mais ne représentent vraiment pas grand chose et c'est bien dommage.

Au final, l'action est beaucoup trop lente pour me plaire mais vu l'intérêt que j'ai porté à la résolution de l'enquête, il n'est pas impossible que j'en lise un autre de la série pour finir de me forger mon avis.

Mon prochain ouvrage du challenge sera un de Georges RR Martin, Windhaven (à la place de Riverdream)

samedi 1 mai 2010

Food for Maggots de Virginia Schilli

Hello Happy People,

Une de mes critiques vient de sortir sur If is Dead. J'ai eu affaire avec un recueil de nouvelles aux relents fantastico-gothiques. On finira tous comme de la bouffe pour les asticots.

Stay Tuned, j'ai bientôt fini de lire Post Mortem. ;p

mercredi 14 avril 2010

La redemption d'Althalus de David et Leigh Eddings

Nous revoilà pour une nouvelle critique de ma liste de lecture 2010. Celui-ci, c'est le fail éditorial, je voulais juste des romans en un seul tome, mais l'édition française en a décidée autrement et c'est devant deux bouquins que je me retrouve ici : Les Yeux d'Émeraude et Les Trois Grimoires (ça m'apprendra a regarder le wiki anglais). Les auteurs sont parait il assez connu dans le milieu, pour ma part c'est un premier contact. Le roman est sorti en 2000 aux États-unis et nous est parvenu en 2001. Avant de se lancer dans mes avis, un petit synopsis pour se resituer.


Althalus est l'un des voleurs les plus doués de sa génération et surtout, le plus chanceux. Mais voilà, la chance tourne et quand c'est la poisse on accepte un peu n'importe quoi comme boulot. L'alcool aidant, Althalus va se retrouver dans un cambriolage dans lequel il va être totalement dépassé. En plein milieu d'une lutte entre déités, il rassemblera une fine équipe afin de contrecarrer les plans de Daeva, le dieu du chaos. Il sera pour cela aider de Dweia, la soeur de Daeva et de Deiwos, le dieu de la création. Son premier combat dans cette guerre, sera contre l'illettrisme avant de se poursuivre sur les champs de bataille et dans les palais et temples à la merci de conspirations vicieuses.


Je me refais enfin un bouquin d'Heroic Fantasy, ça commençait à faire un bout de temps. Et c'est d'autant meilleur que je suis tombé sur un bon. Venons en à nos personnages. Althalus voleur de son état, personnage individualiste qui prendra un tournant morale assez important, est bien sur le héros du roman avec à ses cotés, Émeraude, une chatte noire qui parle. Bon, au niveau de son équipe on se rapproche de l'agence tout risque. Eliar, le militaire, Andine, la frêle princesse, Frère Bheid, le curé qui se défroque, Leitha, la télépathe et enfin Gher, le futé. Vous allez me dire que ça fait une tripotée de personnages, mais rassurez vous, ils sont tous développés et aucun n'est accessoire. Passons aux méchants, eh ben, ils sont vraiment méchants et certains sont mêmes très bêtes. Il sont en quelque sorte le miroir de nos héros, l'équipe de Daeva.

L'élément vraiment central du roman, celui sans lequel il n'y aurait pas d'histoires, c'est la maison du bout du monde. C'est presque un personnage pour moi. Le concept de la maison oscille entre le Tardis du Doctor Who et le couteau du miroir d'Ambre. Ça ouvre un grand nombre de possibilités scenaristiques et force est de constater qu'il en explore pas mal. J'ai trouvé l'idée plutôt géniale et les délires sur les modifications des évènements dans le temps sont bien amenés.

Il y a une grosse part de religion dans ce roman, des religions fictives. Et elles s'en prennent plein la tête, l'auteur s'évertue à mettre à jour tout les travers qu'il peut en restant relativement correct. En même temps, le problème de ce monde de fantasy, c'est les différents clergés, les dieux, leurs luttes de pouvoir et leur corruption.

L'auteur est très agréable à lire. Il n'y a pas de moments de mollesse et l'action n'est pas le moteur des évènements. En clair, on se sert plus du cerveau que des muscles dans cette histoire et c'est tant mieux. Le niveau de langage n'est pas très élevé et je pense que j'aurai facilement pu me le lire en version originale (on me l'a offert, j'vais pas me plaindre)

En conclusion, c'est une excellente surprise que voila. En parcourant le net, je suis tombé sur des critiques négatives mais qui prenaient les autres livres de l'auteur comme référence. Du coup, vu que j'ai aimé celui-ci, je pense que les autres devraient aussi me plaire.

Hop un de plus à rayer de ma liste 2010, le prochain sera Post-Mortem de Patricia Cornwell.

vendredi 9 avril 2010

Calme plat

Hello Happy People,

Bon, en ce moment, c'est vraiment mou, je suis en train de lire une serie en 2 tomes, je joue à FF XIII (enfin quand j'ai le temps), j'ai commencé mon stage, etc... J'ai moyennement le temps d'écrire des critiques, même si j'en ai plusieurs sur le feu. Au programme :

Le Huit de Katherine Neville (en attente de publication sur if is dead)
La redemption d'Althalus de David Eddings
20th Century Boys de Naoki Urasawa (IID)
Suicide Club de Sono Shion (IID)
Final Fantasy XIII sur Xbox 360

et peut etre un descendage en fleche de la bouse Last Remnant sur Xbox 360

En attendant, une petite critique sur IID, Ange de Anne Robillard :
A.N.G.E, Tome 1 : Antichristus

Tcho

dimanche 7 mars 2010

La mariée était en noir de William Irish

Hello happy people

Nous revoilà pour une nouvelle critique d'un bouquin de ma liste de challenge 2010. Je ne saurais pas vraiment le qualifier, mais je dirais polar ou roman noir. Pour commencer, sachez que ce n'est vraiment pas mon genre de prédilection, c'est le hasard de quand j'ai tiré les livres de la liste ^^. Et je dois dire que je n'ai pas regretté que La mariée était en noir soit dans ma liste.
Le livre se lit assez vite, il fait environ 250 pages et est écrit assez gros. Pour situer un peu dans le temps, le livre est sorti dans sa version originale en 1940 et l'édition que j'ai lu est l'édition française de 2001. Un petit synopsis...
 

Une série de meurtre est perpétrée par une femme mystérieuse. Le mobile est inconnu et l'on est même pas sûr que ce soit la même femme qui les a commis. L'inspecteur Wanger est persuadé que tout ces meurtres sont liés, il n'en démordra pas tant qu'il n'aura pas atteint la vérité. Bon, vous allez me dire que c'est plutôt léger mais vous en dire plus serait vous spoiler.

Venons en a la structure du livre. Il est découpé en 4 parties composés de 3 chapitres chacun et d'un chapitre pour le dénouement. Les trois chapitres des parties ont le même schéma d'enchainement : "La femme" nous présente la meurtrière de la partie, une partie qui porte le nom de la victime et on assiste à sa rencontre avec "la femme" et à son assassinat, et enfin "l'enquête" où l'inspecteur Wanger rentre en scène pour déjouer les fils du mystère (tic tic tic tic et tac) avec plus ou moins de succès. J'ai trouvé cette structure sympathique mais elle ne laisse vraiment pas la place au suspense. Par contre, j'ai constaté un certain dynamisme grâce à ce moyen, cela fait très cinématographique et quand on sait que le livre a été adapté au cinéma avec brio, on comprends pourquoi.

Les personnages sont plutôt en retrait par rapport à "la femme" qui est au centre de tout et ce n'est pas grave, vu qu'elle est fascinante, changeante, froide et dénué du sentiment de culpabilité. Et Wanger dans ses interventions est un flic pour lequel on ne peut éprouver que de la sympathie.

Franchement, c'est un bon livre, pas dur à lire et haletant. Je vais donc vous le conseiller sans problème.

A bientôt, pour la chronique de "Le Huit" de Katherine Neville, ce gros pavé de mille pages qui m'a occupé mon mois de février.

dimanche 28 février 2010

Les dieux eux mêmes de Isaac Asimov

Ouch,ça faisait un bout de temps que j'avais rien publié dis donc. En même temps, je suis sur un un bouquin qui fait "juste" un millier de pages... et je suis pas encore à la fin. Dans l'intervalle, ma critique de Les dieux eux mêmes d'Asimov est sorti sur if is dead.
 

C'est un excellent bouquin, du très bon Asimov, où l'on découvre que les aliens ne pensent qu'au sexe XD. C'est donc le troisième billet concernant mon challenge ABC 2010 (plus que 23 ^^)

mercredi 10 février 2010

Final Fantasy VII : Crisis Core de Square Enix sur PSP

Hello people,

Dernièrement je me suis acheté une PSP (Mer il et fou) car certains jeux me faisaient très envie. Crisis Core en fait partie. Mais voyons donc ce qu'il vaut.

Déjà, ceux qui sont familiers avec l'univers de Final Fantasy VII ne seront pas perdus. Les références sont archi-nombreuses et on aura même des précisions sur des évènements que l'on voit en flashback dans le VII. En flashback oui, Crisis Core se passe avant l'opus original. Vous y incarnez Zack un membre du Soldat, la milice d'élite de la Shinra. Tout pourrait aller pour le mieux dans le meilleur des mondes sauf que là c'est un peu la guerre et un Soldat 1ère classe en a profité pour se faire la malle. Vous allez devoir enquêter sur cette désertion et dénouer les ficelles d'une intrigue beaucoup plus complexe. Vous rencontrerez des têtes bien connus de l'univers FF, comme les invocations (Ifrit, Odin, Bahamut,...), Cloud, Aerith ou encore le fameux méchant ultra stylé Sephiroth. Bref tout pour faire plaisir au fanboy que je suis. La narration et les clins d'œil sont pour moi le point fort de ce jeu. Malheureusement, le reste n'est pas du même niveau.

Le jeu est très loin d'être mauvais, il est même meilleur que la plupart des jeux du commerce, mais voilà, certains choix ne sont pour ainsi dire pas très heureux. Déjà la linéarité de l'action. Franchement à part le dernier acte où il faut explorer un peu (et encore), le reste est extrêmement dirigiste, on a l'impression de suivre des couloirs.

La durée de vie est acceptable pour un jeu de console portable, environ 12-13h, cela avec juste la quête principale. Après il y a 300 missions qui n'ont d'intérêt que par les objets qu'elles procurent. Le but y est toujours le même, chercher et détruire voire juste détruire. C'est accessoire mais ça passe le temps, genre après un game over contre un boss, ça remets en confiance.

Le gros morceau de la critique, le système de jeu. On a donc affaire ici à un action RPG avec des combats aléatoires. Après être rentré sur l'aire de combat, on se retrouve donc face à l'ennemi avec comme possibilité d'action, Attaquer, Utiliser un objet ou tout autre actions permises par les matérias que vous avez équipé. Premier problème, le ciblage, ça m'a paru plutôt aléatoire et on ne peut pas vraiment changer de cible en combat, c'est gênant surtout contre les boss accompagnés d'acolytes. La nouveauté majeur du jeu est l'OCN. C'est une sorte de roulette qui permet de lancer les limites, les invocations et influe sur la montée de niveau du personnage et des matérias équipés. Confier le mécanisme de leveling à une composante hasardeuse est plutôt frustrant pour le joueur, en tout cas je le perçois comme ça. Autre point noir du système, on peut par exemple bloquer sur un boss, perdre et le coup d'après le boss va se faire one shoter par Odin... Un peu deg' quand même.

A noter, on peut fusionner des matérias pour en obtenir de nouvelles ou leur ajouter des pouvoirs. J'ai trouvé ça plutôt accessoire et pas vraiment utile, on trouve quasiment toutes les matérias utiles autrement.
A un moment de l'aventure, il y a un petit passage d'infiltration, c'est une horreur, perso, j'ai jamais compris pourquoi je me faisais repérer et la jouabilité n'y était pas du tout adapté.

Conclusion, c'est tout de même un bon jeu malgré ses lacunes. Je peux facilement vous le conseiller, surtout si vous êtes fan de Final Fantasy VII.

vendredi 5 février 2010

Le château des Carpathes de Jules Verne

Me voici de retour avec un roman, et pas de n'importe quel auteur messieurs dames. Jules Verne himself, un des grands du roman d'aventure et de science-fiction et surtout un des auteurs que je préfère et à qui je dois la lecture de mes premiers romans. C'est grâce à des romans forts comme Vingt mille lieues sous les mers que je suis devenu un grand lecteur.
Mais revenons en au livre qui nous intéresse, Le château des Carpathes a été publié en 1892 et l'édition que je me suis procuré est celle de "Le livre de poche" dont je trouve la couverture superbe. Le livre est d'ailleurs parsemé d'illustrations superbes  elles aussi (pour moi en tout cas). Passons à l'histoire maintenant voulez vous.


Toute l'action se passe en Roumanie à la fin du 19ème siècle, la plupart du temps dans un patelin paumé au milieu des montagnes,Wertz. Un jour, un berger du village aperçoit des signes de vie dans le chateau de la région, un chateau maudit selon la croyance populaire. Un courageux villageois voudra savoir le pourquoi du comment et se rendra dans ce lieu délaissé par les dieux. On rencontrera aussi un comte dont cette légende ravivera la soif de vengeance.

Ce roman nous met au prise avec les superstitions de l'époque, il y évoque toute sorte de monstres dont les redoutables stryges (vampires). La peur des villageois est palpable et c'est d'autant plus frustrant vu la première phrase du livre « Cette histoire n'est pas fantastique, elle n'est que romanesque. Faut-il en conclure qu'elle ne soit pas vraie, étant donné son invraisemblance? » Dixit donc le fantastique et bienvenue les explications scientifiques romancés. Certains y verront de l'anticipation, je dirais plutôt que Jules Verne à su trouver de futures utilisations plausibles des technologies de son époque. Il ne faut pas s'y tromper, certaines de ses explications prêtent à sourire au 21ème siècle mais pour l'époque c'était révolutionnaire comme idée.

Il faut dire que pendant la première partie du roman et malgré la mise en garde de l'auteur je m'attendais quand même à un petit vampire. Ce sentiment était par ailleurs renforcé par l'inquiétant château. J'aurais quand même du m'y attendre étant donné mon passif avec cet auteur, le rationnel prend toujours le pas.

Alors, conclusion ? C'est un bon livre selon mes standards mais ce n'est pas le meilleur livre de l'auteur. Je vous le conseille quand même pour son bon parfum de fin 19ème siècle.

Et de deux pour mon challenge ABC, le prochain, Les dieux eux-même d'Asimov.

mercredi 3 février 2010

A paraitre

Plop, un petit planning sur les prochaines chroniques qui vont paraitre en ce début 2010 :

Les dieux eux-mêmes de Isaac Asimov (Littérature, Critique IID)
Le château des Carpathes de Jules Verne
Suicide Club de Sono Shion (Film, Critique IID)
Final Fantasy VII Crisis Core (Jeux Vidéo, PsP)
Le huit de Katherine Neville (Littérature, Critique IID)

Les mentions "Critique IID" indiquent que ce sont des critiques qui paraitront sur le blog If is Dead (normalement ^^) avec un lien pour y accéder d'ici. Je vous renvoie à la chronique sur l'album Advance and Vanquish de 3 inches of Blood pour un exemple.

mardi 2 février 2010

Le Donjon de Naheulbeuk -L'orbe de Xaraz- de John Lang

Ce qui est bien quand on a un frangin mordu de saga mp3, en plus de me faire découvrir les perles de la sagasphère, c'est qu'il va aussi acheté des goodies venant des grosses franchises. Ici en l'occurence, c'est le dernier livre des aventures de nos aventuriers bras cassés parcourant la terre de Fangh écrit par John Lang alias "Pen of Chaos". Il correspond à la saison 4 du Donjon de Naheulbeuk et suis le roman "La couette de l'oubli". Mais de quoi est il donc question ici ?

Notre compagnie que rien n'arrête (XD), après avoir sauvé le monde d'une prophétie apocalyptique, se remet en route avec la ferme intention de liquider les objets précieux en leur possession, de se partager le butin et de se séparer pour rentrer dans leurs chaumières. Mais voilà pour eux ça ne se passe jamais comme prévu. Il se retrouveront avec un mort sur les bras, dans le maelström d'un complot politique et bien sur dans les ennuis jusqu'au cou où ils croiseront la route d'une vieille connaissance pas amicale pour un sou.

Niveau style, c'est assez agréable à lire, on ne s'ennuie pas, le rythme est suffisamment soutenu pour ça. J'apprécie toujours autant les petits paragraphes de bulletin cérébral qui nous confie les pensées d'un des membres de la compagnie. Ça romps la monotonie et c'est assez marrant en général.
Le truc qui me tique c'est de voir à quel point l'auteur ne s'est pas foulé pour les noms des dieux, des villes,etc... Allez hop, je chope un bouquin de warhammer, je change 2-3 lettres aux noms et y'a que les geeks qui vont voir. L'inspiration n'était pas au rendez vous ou quoi ?! (on me souffle dans l'oreillette : c'est de la parodie, toussa, toussa)

Je déconseille si vous n'êtes ni fan de fantasy ni de la saga mp3. Mais pour les autres, vous trouverez tout les ingrédients qui vous ont plus dans la saga, un humour omniprésent et une lecture aisé. Je conseille tout de même la lecture de "La couette de l'oubli" (qui est un poil supérieur à celui-ci au passage) sinon certains passages vont vous échapper.

jeudi 28 janvier 2010

Advance and Vanquish par 3 Inches of Blood

Happy people bis,

Il m'est arrivé une tuile cette semaine, le genre de truc qui te detruit ta semaine. On m'a explosé une vitre de ma voiture pour me piquer mon auto radio. Et dans le lecteur, il y avait un de mes cds favoris, récemment acheté. Il s'agissait de l'album Advance and Vanquish par 3 Inches of Blood, un groupe de Heavy Metal canadien.



Mais bon, je ne poste pas pour me lamenter sur ma pauvre vitre, mais bien pour vous parlez de l'album. J'ai découvert ce groupe par l'intermédiaire du jeu vidéo Brutal Legend dont il faisait partie de la bande originale. C'est du bon gros métal bien énervé avec une particularité au chant, vu qu'il y a deux vocalistes.

Je vous renvoie à ma critique sur If is Dead : critique de l'album Advance and Vanquish de 3 inches of blood

Live-Report : Alain Souchon à Monthou sur Bièvre

Hello happy people,
le 27 janvier je suis donc allé voir M. Souchon en concert à Monthou sur Bièvre,un petit bled paumé dans le Loir et Cher, comprenant une salle pour environ 1200 personnes et c'était complet. Il faut aussi savoir que M. Souchon est apparemment un résident de ce village (je parie qu'il est venu à pied ^^) Et tout ça dans le cadre de sa tournée. Voyons ce que ça donne sur scène.




Eh bien, je dois avouer que je ne suis pas déçu, il en a de l'énergie pour son âge. Il bouge pas mal sur scène, ça change des prestations statiques de certains chanteurs. Niveau interaction, il parle beaucoup avec le public et ne peine absolument pas à nous faire rire.

Au programme, les chansons de son dernier album sorti en 2008. Je ne les avais jamais écouté avant. Je les trouve pas mal, mais sans plus, il leur manque un petit quelque chose pour les rendre aussi mythique que ses plus grands succès. En parlant de ses succès, j'ai 10 ans, Rive gauche, Foule sentimentale... Tout ça était au rendez vous pour notre plus grand plaisir, et quel plaisir !! J'ai particulièrement aimé la projection des paroles pour les deux dernières chansons, pour que l'on puisse chanter avec lui.

Concernant le technique, pour la sonorisation, j'ai eu l'impression qu'il y a eu un schmilblik avec la batterie, mais rien de grave.

Ca m'a énormément fait plaisir de voir en vrai l'idole de mon enfance. Je tiens d'ailleurs à signaler que c'est le seul chanteur français que j'aime. En conclusion, si vous avez l'occasion d'aller le voir en concert, n'hésitez pas.

dimanche 17 janvier 2010

Challenge ABC 2010

Yup, pour l'année 2010, j'ai décidé de me lancer dans un challenge ABC. C'est à dire, à chaque lettre de l'alphabet est associé un auteur, et je me lis ça dans l'année. Ma petite liste, pour ceux que ça intéresse :

Asimov Isaac, Les dieux eux-mêmes
Bordage Pierre, Porteur d'âmes
Cornwell Patricia, Postmortem
Dick Philip K., Le maitre du haut chateau
Eddings David, The redemption of Althalus
Flynn , Eifelheim
Gibson William, Identification des schemas
Hemingway Ernest, Le vieil homme et la mer
Irish William, La mariée était en noir
Jacq Christian, Le procès de la momie
Kafka Frank, Le chateau
Lang John, l'orbe de Xaraz
Martin Georges RR, Riverdream
Neville Katherine, le huit
Orwell Georges, la ferme des animaux
Poe Edgar Allan, Histoires extraordinaires
Quignard Pascal, Vie Secrete
Rice Ann, Pandora
Simmons Dan, le chant de Kali
Tanizaki Junichiro, Le meutre d'O-Tsuya
Uris Leon, Exodus
Verne Jules, Le chateau des carpathes
Wells HG, Un rêve d'armageddon
Xingjian Gao, le livre d'un homme seul
Yoshikawa Mako, Vos Desirs sont desordres
Zelazny Roger, l'ile des morts

J'écrirais une critique pour chacune de mes lectures. Vous pourrez en trouver des résumés ici et les textes complets sur if is dead (quand cela rentrera dans leur ligne éditoriale), blog de critique pour lequel je fais quelques articles.
Au moment où je vous parle, j'ai déjà lu "Les dieux eux-mêmes" et "Le chateau des carpathes", deux excellents bouquins.